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Avis de décès de Monsieur Serge, Félix, Gabriel BRUNET
Publié le 17 juillet 2022 à Hyères
Serge, Félix, Gabriel BRUNET
Né le 08 janvier 1931
Décédé à Hyères
le 17 juillet 2022 à l'âge de 91 ans
le 17 juillet 2022 à l'âge de 91 ans
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Un hommage fort de sens
Qui participe à la reforestation
08 00 18 17 00
312 Avenue des Alliés
83240 Cavalaire-sur-Mer
83240 Cavalaire-sur-Mer
Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
Serge, Félix, Gabriel BRUNET
survenu le dimanche 17 juillet 2022, à l'âge de 91 ans.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de Serge, Félix, Gabriel.
Avec toute notre affection.
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23 hommages ont été rendus :
Message de Familles NOËL CLOUZOT WASNER
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Par la pensée, nous sommes de tout cœur avec vous pour traverser cette douloureuse épreuve. Sincères condoléances à son épouse, à Fabrice et Corine, à toute la famille et ses proches.
On gardera de Serge sa convivialité et sa gentillesse.
Familles NOËL CLOUZOT WASNER "
On gardera de Serge sa convivialité et sa gentillesse.
Familles NOËL CLOUZOT WASNER "
Message de Gilles
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Recevez mes plus sincères condoléances.
Je garderai en souvenirs les réunions familiales où ta présence était fort sympathique.... "
Je garderai en souvenirs les réunions familiales où ta présence était fort sympathique.... "
Message de Dominique Tabamer
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Bonjour ont vous presente toutes nos condoléances je n'ai que de très bons souvenirs avec Mr Brunet il était d'une gentillesse et toujours le mot pour rire il va beaucoup me manquer et je donne tout mon soutien à Mme Brunet il restera toujours dans mon cœur courage à la famille "
Message de Didier et Alexandra Clouzot
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Nous vous présentons toutes nos sincères condoléances. Nos pensées sont vers vous en ce douloureux moment. Nous avons peu connu Serge mais nous gardons le souvenir d’un homme agréable, convivial et souriant. Courage à toute la famille. "
Message de Brigitte et Gilles Le Texier
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Chère Huguette,
Nous sommes de tout cœur avec toi et tes enfants dans ces moments si douloureux. Nous garderons à jamais en mémoire ces après-midi de plage et ces soirées si joyeuses auprès de vous deux avec Lucienne et Marcel.
Sincères condoléances.
Brigitte et Gilles "
Nous sommes de tout cœur avec toi et tes enfants dans ces moments si douloureux. Nous garderons à jamais en mémoire ces après-midi de plage et ces soirées si joyeuses auprès de vous deux avec Lucienne et Marcel.
Sincères condoléances.
Brigitte et Gilles "
Message de Marine , Chang et Elena
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toutes nos condoléances à son épouse , sa fille , son fils Fabrice et a toute la famille . Toutes nos pensées sont avec vous dans ce moment difficile. "
Message de Angélique et Fabrice rampant
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Une pensée pour toute la famille pour cette douloureuse épreuve. Nous vous présentons nos sincères condoléances. "
Message de Evelyne et Gérard Bourdon
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toutes nos amitiés en ces moment douloureux à toute la famille et amis touchés par le décès de Serge. Nous pensons bien à vous dans ce moment de grande tristesse et avons une forte pensée pour lui que nous avons toujours apprécié.
Evelyne et Gérard Bourdon "
Evelyne et Gérard Bourdon "
Message de Margot Wasner Clouzot
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Bonsoir à la famille Brunet,
C'est avec tristesse que je viens d'apprendre le décès de Mr Brunet.
Je garderais en mémoire l'homme sage qu'il était avec sa grande gentillesse et son humour qui m'a toujours fait sourire.
Merci à vous d'avoir apporté de la bonne humeur toutes les fois où l'on se voyait.
Que votre âme repose en paix. 🕊
Mes très sincères condoléances à toute la famille, mes pensées vont vers vous pendant cette douloureuses épreuve. "
C'est avec tristesse que je viens d'apprendre le décès de Mr Brunet.
Je garderais en mémoire l'homme sage qu'il était avec sa grande gentillesse et son humour qui m'a toujours fait sourire.
Merci à vous d'avoir apporté de la bonne humeur toutes les fois où l'on se voyait.
Que votre âme repose en paix. 🕊
Mes très sincères condoléances à toute la famille, mes pensées vont vers vous pendant cette douloureuses épreuve. "
Message de Famille Wilfrid GRUNER - Maïa GUERRIC
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Tonton Serge fait partie à jamais des souvenirs heureux. Ceux partagés avec toute la fratrie, tonton Bernard et Mamie Lucette.
Comment ne pas se souvenir des soirées mémorables à Mennecy, puis des séjours lumineux au Lavandou ? Comment oublier sa voix de stentor, chaleureuse et avenante, vibrante d’énergie ? Comment enfin ne pas se rappeler ses exploits routiers, dont le dernier en date, une petite trempette pour sa voiture ?
Et puis tonton Serge savait recevoir : les apéros et les cocktails pleuvaient comme fleurissent les mimosas au printemps. Il n’était jamais à court de sourires et de bienveillance lorsqu’on passait le voir, même si nous concernant, la distance empêchait la fréquence.
Enfin, nous sommes certains que s’il y a un poste vacant de responsable là-haut, tu l’as déjà pris grand tonton, afin d’y mettre un peu d’ordre.
Et pour Huguette, Corinne et Fabrice, recevez tout notre soutien le plus chaleureux.
Maïa, Willy et leurs enfants. "
Comment ne pas se souvenir des soirées mémorables à Mennecy, puis des séjours lumineux au Lavandou ? Comment oublier sa voix de stentor, chaleureuse et avenante, vibrante d’énergie ? Comment enfin ne pas se rappeler ses exploits routiers, dont le dernier en date, une petite trempette pour sa voiture ?
Et puis tonton Serge savait recevoir : les apéros et les cocktails pleuvaient comme fleurissent les mimosas au printemps. Il n’était jamais à court de sourires et de bienveillance lorsqu’on passait le voir, même si nous concernant, la distance empêchait la fréquence.
Enfin, nous sommes certains que s’il y a un poste vacant de responsable là-haut, tu l’as déjà pris grand tonton, afin d’y mettre un peu d’ordre.
Et pour Huguette, Corinne et Fabrice, recevez tout notre soutien le plus chaleureux.
Maïa, Willy et leurs enfants. "
Message de RATEL MARION
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toutes nos condoléances.
Toutes nos pensées vont vers vous dans ce moment douloureux.
La directrice et toute son équipe de la girandière de l'orée des pins à Mont de marsan. "
Toutes nos pensées vont vers vous dans ce moment douloureux.
La directrice et toute son équipe de la girandière de l'orée des pins à Mont de marsan. "
Message de Catherine FAILLOT DORKELD
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Coucou la famille,
Nous partageons votre peine pour la perte de Serge, papa, papy… Nous nous souvenons à quel point « Papy Brunet » était une personne douce, affectueuse et toujours de bonne humeur.
Le Lavandou sera toujours pour nous, synonyme de mamie et papy Brunet.
Nous garderons dans notre cœur le souvenir de l’accueil si chaleureux de la rue des roses trémières.
Nous nous rappellerons les apéritifs et feux d’artifices face à la mer en compagnie d’un couple tendre et affectueux.
Aujourd’hui, c’est bien entouré de toute sa famille que papy Serge s’en va retrouver l’horizon et les flots qu’il a longtemps chéris depuis son surplomb.
- Huguette, avec votre aide, votre époux a su construire et aimer une belle et grande famille. Vous saurez trouver les ressources pour poursuivre le chemin, accueillir de nouveaux descendants et encore transmettre de l’amour.
- Ma Coco, je connais cette douloureuse épreuve, je suis de tout cœur avec toi, mes amitiés à Fabrice.
Certes une page se tourne, mais papy Brunet laisse à vos bons soins un héritage de souvenirs, d’amour, d’enseignements, de réunion de famille et de beaux cheveux frisés.
Notre « petite » famille s’associe à votre peine et nous vous présentons nos sincères condoléances.
Bien amicalement,
KTI, Pascal, Axel "
Nous partageons votre peine pour la perte de Serge, papa, papy… Nous nous souvenons à quel point « Papy Brunet » était une personne douce, affectueuse et toujours de bonne humeur.
Le Lavandou sera toujours pour nous, synonyme de mamie et papy Brunet.
Nous garderons dans notre cœur le souvenir de l’accueil si chaleureux de la rue des roses trémières.
Nous nous rappellerons les apéritifs et feux d’artifices face à la mer en compagnie d’un couple tendre et affectueux.
Aujourd’hui, c’est bien entouré de toute sa famille que papy Serge s’en va retrouver l’horizon et les flots qu’il a longtemps chéris depuis son surplomb.
- Huguette, avec votre aide, votre époux a su construire et aimer une belle et grande famille. Vous saurez trouver les ressources pour poursuivre le chemin, accueillir de nouveaux descendants et encore transmettre de l’amour.
- Ma Coco, je connais cette douloureuse épreuve, je suis de tout cœur avec toi, mes amitiés à Fabrice.
Certes une page se tourne, mais papy Brunet laisse à vos bons soins un héritage de souvenirs, d’amour, d’enseignements, de réunion de famille et de beaux cheveux frisés.
Notre « petite » famille s’associe à votre peine et nous vous présentons nos sincères condoléances.
Bien amicalement,
KTI, Pascal, Axel "
Message de Nadine Darfour
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Tonton Serge avait pour une prestence et une stature que n'égalaient pour moi que sa générosité et sa gentillesse. Quel bonheur d'avoir pu être à ses côtés pour fêter ses 90 printemps. Ce jour là il fut le roi " Roi d'un jour roi pour toujours". Il est bon de penser que tonton a retrouvé ses frères et sœur et qu'il s'y trouve bien. La douleur est pour ceux qui restent. J'envoie toutes nos affectueuses pensées à Tatie, Corinne et Fabrice.
Nadine Jocelyne Colette "
Nadine Jocelyne Colette "
Message de VOBORSKY Alexandra
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Mr Brunet.
Nous voulions vous présenter nos très sincères condoléances et l’assurance de notre soutien dans cette difficile épreuve de vie, et tout particulièrement à toi, Ami Fabrice, ainsi qu’à ta mère, ta sœur et Marissa.
A titre personnel, j’ai eu la chance de rencontrer quelquefois mais régulièrement Mr Brunet. Je me souviens de cet homme riche en expériences de vie, et qui aimait partager avec autrui; son élégance, son éternel sourire et son phrasé caractéristique rendaient tout échange extrêmement agréable.
Plus particulièrement, je me rappelle de ces lignes magnifiques qu’il avait écrites et lues devant l’assemblée regroupée à l’occasion d’un anniversaire de son fils Fabrice et de la vive émotion ressentie face à cette aisance, cet humour , cette affection qui s’en dégageaient …
Avec vous et de tout cœur ,
Alexandra, Zdenek, Lenka, Dana "
Nous voulions vous présenter nos très sincères condoléances et l’assurance de notre soutien dans cette difficile épreuve de vie, et tout particulièrement à toi, Ami Fabrice, ainsi qu’à ta mère, ta sœur et Marissa.
A titre personnel, j’ai eu la chance de rencontrer quelquefois mais régulièrement Mr Brunet. Je me souviens de cet homme riche en expériences de vie, et qui aimait partager avec autrui; son élégance, son éternel sourire et son phrasé caractéristique rendaient tout échange extrêmement agréable.
Plus particulièrement, je me rappelle de ces lignes magnifiques qu’il avait écrites et lues devant l’assemblée regroupée à l’occasion d’un anniversaire de son fils Fabrice et de la vive émotion ressentie face à cette aisance, cet humour , cette affection qui s’en dégageaient …
Avec vous et de tout cœur ,
Alexandra, Zdenek, Lenka, Dana "
Message de Thierry Gironn
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons cette mauvaise nouvelle. Denise se joint à nous pour vous exprimer nos très sincères condoléances. Nos pensées vont bien sur à toute votre famille mais particulièrement à Huguette. Nous ne serons pas aux obsèques mais toutes nos pensées vous accompagneront. De tout cœur avec vous en ce moment difficile.
Grosses bises à vous tous
Thierry et Jocelyne "
Grosses bises à vous tous
Thierry et Jocelyne "
Message de Alain et Josette
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Toutes nos condoléances et nos pensées en ce triste momment. Nous souhaitons beaucoup de courage à Tatie Huguette, Corinne et Fabrice ainsi qu'aux petits enfants.
Nous ne pourrons malheureusement être présent pour les obséques mais vous accompagneront par la pensée.
Alain et Josette "
Nous ne pourrons malheureusement être présent pour les obséques mais vous accompagneront par la pensée.
Alain et Josette "
Message de Oussamah abouzaid
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" J'ai eu la chance et le privilège de connaître cet homme ..touchant, paisible,doté d'une finesse humoriste et surtout qui impose le respect. Une bien triste nouvelle pour cette disparition.
Courage aux proches ,je vous présente mes condoléances et une pensée bien particulière à sa femme "
Courage aux proches ,je vous présente mes condoléances et une pensée bien particulière à sa femme "
Message de Erika Gruner
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Quelle tristesse de voir partir mon grand oncle qui m'a toujours impressionnée par son charisme naturel et sa grande générosité. Mes condoléances les plus sincères. Je ne pourrai malheureusement pas vous les adresser en personne mais je suis de tout cœur avec vous dans cette épreuve. "
Message de Catherine et Michel
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Au revoir, tonton Serge, mon parrain,
Et voilà, tu es parti ! Mais je te garde dans mon cœur avec tous les souvenirs que j'ai de toi depuis que je suis petite. Tu as souvent représenté le père que j'aurais aimé avoir. Avec toi et Huguette j'ai vu Bambi, je suis allé dans les grands magasins pour acheter une robe. Elle était si jolie, rouge à petits pois blancs. Et puis, je me souviens de ton mariage à Bordeaux, avec Maman Yvonne qui m'a fait découvrir les huîtres ! Ce sont les souvenirs les plus lointains mais il y en a tellement. C'est ainsi que je te voyais tout le temps quand je pensais à toi : souriant et heureux comme au jour de ton mariage. Tu étais l'image même de la générosité et chaque fois qu'on venait te voir, tu avais toujours un mot gentil. Tu avais fait découvrir à Michel la glace Colonel et il ne peut s'empêcher de t'associer à ce délice ! Moi c'est le petit rosé de l'été avec plus de glaçons que de vin ! Que ce soit à Ablon, à Ris Orangis, à Mennecy ou au Lavandou, tu as toujours été accueillant, bienveillant et généreux. La distance nous a empêché d'être avec toi et Huguette plus souvent, et aujourd'hui nous pensons bien à toi, Huguette, qui va te sentir si seule. Mais de là-haut, Parrain, tu vas tout organiser pour veiller sur elle, j'en suis sûre.
Recevez, Huguette, Corinne et Fabrice, toutes nos chaleureuses pensées, nous vous embrassons très fort.
Catherine et Michel "
Et voilà, tu es parti ! Mais je te garde dans mon cœur avec tous les souvenirs que j'ai de toi depuis que je suis petite. Tu as souvent représenté le père que j'aurais aimé avoir. Avec toi et Huguette j'ai vu Bambi, je suis allé dans les grands magasins pour acheter une robe. Elle était si jolie, rouge à petits pois blancs. Et puis, je me souviens de ton mariage à Bordeaux, avec Maman Yvonne qui m'a fait découvrir les huîtres ! Ce sont les souvenirs les plus lointains mais il y en a tellement. C'est ainsi que je te voyais tout le temps quand je pensais à toi : souriant et heureux comme au jour de ton mariage. Tu étais l'image même de la générosité et chaque fois qu'on venait te voir, tu avais toujours un mot gentil. Tu avais fait découvrir à Michel la glace Colonel et il ne peut s'empêcher de t'associer à ce délice ! Moi c'est le petit rosé de l'été avec plus de glaçons que de vin ! Que ce soit à Ablon, à Ris Orangis, à Mennecy ou au Lavandou, tu as toujours été accueillant, bienveillant et généreux. La distance nous a empêché d'être avec toi et Huguette plus souvent, et aujourd'hui nous pensons bien à toi, Huguette, qui va te sentir si seule. Mais de là-haut, Parrain, tu vas tout organiser pour veiller sur elle, j'en suis sûre.
Recevez, Huguette, Corinne et Fabrice, toutes nos chaleureuses pensées, nous vous embrassons très fort.
Catherine et Michel "
Message de Oryan Meynadier
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Ce dimanche 17 juillet au matin, tu nous a quitté.
Tu sais, j'espere que tu n'as pas souffert ou attendu trop longtemps.
Tu es parti hier pour moi mais tu me manques deja, tu sais mon Papy, ma femme t'as aimé en un rien de temps c'est ça ton talent, c'est comme ça que tu etais.
Amoureux de la vie, de la bonne bouffe, des apéro, des calembours, tu as tjrs été un soutien, un pilier pour chacun de nous.
Tu as eu des mots un jours pour moi, puis d'autres le lendemain.
Tjrs efficace, tjrs perspicaces, un jour tu m'imaginais avocat, un jours gangster, mais j'aurais enfilé tous les costumes pour te rendre fier, mm si je me voyais plus gangster a tes côtés.
J'ai tout essayé, mais pour le moment, rien accompli.
De tout la haut, tu nous accompagneras tous, comme tu l'as tjrs fait.
Oui, avec ton œil malicieux mais protecteur.
Tout ça, tu ne l'as pas fait seul.
Une definition me viens a l'amour, Papy Serge, Mamy Huguette.
Elle était ta reine, tu es tjrs son roi.
Deux inséparable perché sur un bout de bois que vous avez su nous partager.
Votre amour est la definition de l'amour, 68ans de mariage !
Votre complicité est parfaite, Mamy avec sa candeur, sa douceur et sa naîveté.
Toi, Mon Papy avec ton humour, ta protection et parfois, mais pas trop, ta fermeté. On se souviens des punitions promises mais tres rarement tenue...
Papy, sois en paix.
Tes enfants, petits enfants, arrieres petits enfants, ta famille au complet est la, tes amis aussi.
Les autres leveront leur verre a ta santé avec toi la haut.
Et si je dois etre le seul a le faire tel qu'était ta volonté, alors qu'il en soit ainsi ! A notre retour dans cette maison que tu aimais tant, celle imaginé pour acceuillir tout le monde je leverai mon verre, sur cette terasse qui nous offre une vue de milliardaire.
Papy je célèbre ta vie et tout ce que tu as fait pour chacun d'entre nous.
Je pleurerai ta mort sans larme, avec ce simple sourir en coin que tu arborai.
Santé Papy ! A bientôt, je t'aime. "
Tu sais, j'espere que tu n'as pas souffert ou attendu trop longtemps.
Tu es parti hier pour moi mais tu me manques deja, tu sais mon Papy, ma femme t'as aimé en un rien de temps c'est ça ton talent, c'est comme ça que tu etais.
Amoureux de la vie, de la bonne bouffe, des apéro, des calembours, tu as tjrs été un soutien, un pilier pour chacun de nous.
Tu as eu des mots un jours pour moi, puis d'autres le lendemain.
Tjrs efficace, tjrs perspicaces, un jour tu m'imaginais avocat, un jours gangster, mais j'aurais enfilé tous les costumes pour te rendre fier, mm si je me voyais plus gangster a tes côtés.
J'ai tout essayé, mais pour le moment, rien accompli.
De tout la haut, tu nous accompagneras tous, comme tu l'as tjrs fait.
Oui, avec ton œil malicieux mais protecteur.
Tout ça, tu ne l'as pas fait seul.
Une definition me viens a l'amour, Papy Serge, Mamy Huguette.
Elle était ta reine, tu es tjrs son roi.
Deux inséparable perché sur un bout de bois que vous avez su nous partager.
Votre amour est la definition de l'amour, 68ans de mariage !
Votre complicité est parfaite, Mamy avec sa candeur, sa douceur et sa naîveté.
Toi, Mon Papy avec ton humour, ta protection et parfois, mais pas trop, ta fermeté. On se souviens des punitions promises mais tres rarement tenue...
Papy, sois en paix.
Tes enfants, petits enfants, arrieres petits enfants, ta famille au complet est la, tes amis aussi.
Les autres leveront leur verre a ta santé avec toi la haut.
Et si je dois etre le seul a le faire tel qu'était ta volonté, alors qu'il en soit ainsi ! A notre retour dans cette maison que tu aimais tant, celle imaginé pour acceuillir tout le monde je leverai mon verre, sur cette terasse qui nous offre une vue de milliardaire.
Papy je célèbre ta vie et tout ce que tu as fait pour chacun d'entre nous.
Je pleurerai ta mort sans larme, avec ce simple sourir en coin que tu arborai.
Santé Papy ! A bientôt, je t'aime. "
Message de Esteban MEYNADIER
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Hommage à mon grand-père :
En ce moment douloureux, je souhaitais dire quelques mots pour te rendre hommage et rappeler à tous quel homme formidable tu as été. Eh oui, cette fois ci, c’est moi qui vais prendre la parole pour parler de toi.
En 1991, le 19 novembre précisément, je suis venu au monde et c’est avec ton magnifique sourire et ta bienveillance que tu m’as accueilli. En même temps, vu notre ressemblance tu ne pouvais pas me renier et moi non plus. C’est à partir de là que nous nous sommes donné rdv tous les ans pendant les vacances d’été. Et c’est à tes côtés que j’ai grandi et que j’ai découvert certains plaisirs de la vie. J’ai tant de souvenirs avec toi. Tu as toujours su m’accorder du temps et me mettre au centre de tes préoccupations.
A tes côtés, j’ai appris à nager que ce soit au domaine des Maurels où je sautais dans la piscine avant même d’avoir enfiler mes brassards ou à Saint Claire où nous suivions tes brasses pour aller sauter du rocher de la baleine. Toujours prêt à chahuter, nous adorions jouer avec toi à se couler et petit tu me laissais croire que j’arrivais à le faire et j’adorais ça, ça me donnait le sentiment d’être fort.
Lorsque je fus plus grand, tu m’accompagnais sur les pontons pour montrer à la jeunesse que le papy était toujours de la partie et qu’il ne valait mieux pas être en duel contre toi. Avec toi à mes côtés, je savais qu’il ne pouvait rien m’arriver… Une fois revenu sur la plage, c’est au travers des raquettes de plage, du foot et du volley que tu partageais de bons moments avec nous.
Lorsque nous venions chez mamie et toi avec Lorelyn et Oryan, nous avons toujours été reçu comme des princes et là encore, tu ne manquais pas d’idées pour partager de bons moments avec nous. Avec Oryan, nous avons découvert le jeu de fléchettes à tes côtés, mais aussi le tir aux plombs, la pétanque et les pétards que je prenais plaisir à faire exploser après la glace que tu nous offrais pour fêter le 14 juillet. Pour souligner ces moments, tu nous as appris l’importance du partage avec nos célèbres apéros interminables suivi de véritables festins concoctés par mamie où tu avais toujours une blague ou une anecdote à raconter. Dernièrement, tu adorais te jouer des mots en utilisant les contrepèteries. C’est au cours de ces instants que je partageais également de grandes discussions avec toi autour du sport, de la bourse, de l’immobilier ou du bricolage par exemple car il était important pour moi d’avoir ton avis pour nourrir ma réflexion.
A l’occasion de la coupe du monde 1998, nous avons célébré ensemble la victoire de l’équipe de France de foot contre le Brésil et qu’est ce que c’était cool ! J’en garde un souvenir incroyable...
Lorsque j’étais jeune garçon, armé de tes supers biceps, tu me faisais croire que tu avais participé aux Jeux Olympiques de Judo, de boxe ou bien de danse avec mamie et j’en passe, et moi je te regardais émerveiller et profondément admiratif.
Pour tenter de t’impressionner, j’adorais que tu me regardes jouer avec les jumeaux à Saint Claire, ça me rappelait l’époque ou petit, nous étions assis l’un à côté de l’autre sur le muret de bord de plage pour regarder les joueurs de l’époque taper dans le ballon de volley.
Je ne pourrai pas détailler l’ensemble de mes souvenirs avec toi tellement ils sont nombreux mais il me semblait important d’en partager quelques-uns ici.
Aujourd’hui, ce n’est pas seulement mon grand-père qui s’en va, c’est aussi mon modèle de réussite, mon guide, mon protecteur et celui qui aura su me donner goût à certains plaisirs de la vie. Je veux une nouvelle fois te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi, tu as été un papy en or et c’est avec une grande émotion que je te souhaite de trouver la paix.
Ton petit fils qui t’aime profondément. "
En ce moment douloureux, je souhaitais dire quelques mots pour te rendre hommage et rappeler à tous quel homme formidable tu as été. Eh oui, cette fois ci, c’est moi qui vais prendre la parole pour parler de toi.
En 1991, le 19 novembre précisément, je suis venu au monde et c’est avec ton magnifique sourire et ta bienveillance que tu m’as accueilli. En même temps, vu notre ressemblance tu ne pouvais pas me renier et moi non plus. C’est à partir de là que nous nous sommes donné rdv tous les ans pendant les vacances d’été. Et c’est à tes côtés que j’ai grandi et que j’ai découvert certains plaisirs de la vie. J’ai tant de souvenirs avec toi. Tu as toujours su m’accorder du temps et me mettre au centre de tes préoccupations.
A tes côtés, j’ai appris à nager que ce soit au domaine des Maurels où je sautais dans la piscine avant même d’avoir enfiler mes brassards ou à Saint Claire où nous suivions tes brasses pour aller sauter du rocher de la baleine. Toujours prêt à chahuter, nous adorions jouer avec toi à se couler et petit tu me laissais croire que j’arrivais à le faire et j’adorais ça, ça me donnait le sentiment d’être fort.
Lorsque je fus plus grand, tu m’accompagnais sur les pontons pour montrer à la jeunesse que le papy était toujours de la partie et qu’il ne valait mieux pas être en duel contre toi. Avec toi à mes côtés, je savais qu’il ne pouvait rien m’arriver… Une fois revenu sur la plage, c’est au travers des raquettes de plage, du foot et du volley que tu partageais de bons moments avec nous.
Lorsque nous venions chez mamie et toi avec Lorelyn et Oryan, nous avons toujours été reçu comme des princes et là encore, tu ne manquais pas d’idées pour partager de bons moments avec nous. Avec Oryan, nous avons découvert le jeu de fléchettes à tes côtés, mais aussi le tir aux plombs, la pétanque et les pétards que je prenais plaisir à faire exploser après la glace que tu nous offrais pour fêter le 14 juillet. Pour souligner ces moments, tu nous as appris l’importance du partage avec nos célèbres apéros interminables suivi de véritables festins concoctés par mamie où tu avais toujours une blague ou une anecdote à raconter. Dernièrement, tu adorais te jouer des mots en utilisant les contrepèteries. C’est au cours de ces instants que je partageais également de grandes discussions avec toi autour du sport, de la bourse, de l’immobilier ou du bricolage par exemple car il était important pour moi d’avoir ton avis pour nourrir ma réflexion.
A l’occasion de la coupe du monde 1998, nous avons célébré ensemble la victoire de l’équipe de France de foot contre le Brésil et qu’est ce que c’était cool ! J’en garde un souvenir incroyable...
Lorsque j’étais jeune garçon, armé de tes supers biceps, tu me faisais croire que tu avais participé aux Jeux Olympiques de Judo, de boxe ou bien de danse avec mamie et j’en passe, et moi je te regardais émerveiller et profondément admiratif.
Pour tenter de t’impressionner, j’adorais que tu me regardes jouer avec les jumeaux à Saint Claire, ça me rappelait l’époque ou petit, nous étions assis l’un à côté de l’autre sur le muret de bord de plage pour regarder les joueurs de l’époque taper dans le ballon de volley.
Je ne pourrai pas détailler l’ensemble de mes souvenirs avec toi tellement ils sont nombreux mais il me semblait important d’en partager quelques-uns ici.
Aujourd’hui, ce n’est pas seulement mon grand-père qui s’en va, c’est aussi mon modèle de réussite, mon guide, mon protecteur et celui qui aura su me donner goût à certains plaisirs de la vie. Je veux une nouvelle fois te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi, tu as été un papy en or et c’est avec une grande émotion que je te souhaite de trouver la paix.
Ton petit fils qui t’aime profondément. "
Message de Serge Meynadier
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Serge
Nous partageons le même prénom et avons partagé des années ensemble. Au tout début, tu ne donnais pas cher de ce gendre chevelu qui, en plus, allait kidnapper ta fille pour l'emmener très très loin durant presque deux ans. Nous n'étions pas toujours d'accord mais ton intelligence et ton amour des tiens, de toute ta famille, effacait les différences, notamment ces apéritifs interminables et ces repas à pas d'heure. Tu as toujours su être attentif aux autres et comme ton amour pour ta femme était incommensurable. Rien que pour ça aucune médaille ne sera digne de toi. Merci d'avoir été là, pour nous, toujours. Et puis, finalement, tu auras gagné à jamais à la belotte et je n'aurai pas de revanche, tu resteras le roi des atouts. En fait, malgré nos différences, nos désaccords parfois, je pense que je t'aimais bien plus que je ne le croyais.Tu vas me manquer comme à beaucoup et j'espère être capable de faire pour les miens au moins un peu de tout ce que tu as su faire. Serge. "
Nous partageons le même prénom et avons partagé des années ensemble. Au tout début, tu ne donnais pas cher de ce gendre chevelu qui, en plus, allait kidnapper ta fille pour l'emmener très très loin durant presque deux ans. Nous n'étions pas toujours d'accord mais ton intelligence et ton amour des tiens, de toute ta famille, effacait les différences, notamment ces apéritifs interminables et ces repas à pas d'heure. Tu as toujours su être attentif aux autres et comme ton amour pour ta femme était incommensurable. Rien que pour ça aucune médaille ne sera digne de toi. Merci d'avoir été là, pour nous, toujours. Et puis, finalement, tu auras gagné à jamais à la belotte et je n'aurai pas de revanche, tu resteras le roi des atouts. En fait, malgré nos différences, nos désaccords parfois, je pense que je t'aimais bien plus que je ne le croyais.Tu vas me manquer comme à beaucoup et j'espère être capable de faire pour les miens au moins un peu de tout ce que tu as su faire. Serge. "
Message de Lorelyn Meynadier
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Papy,
Je voudrai t'adresser ces quelques mots. Ils ne seront certes pas à la hauteur de tes discours, plein d'humour et de délicatesse, tout en alexandrins et qui contaient si bien ce que tu avais à dire, mais ils viennent de mon coeur. Ah tes discours ! Tout un poème... et tout une présence !
37 ans. 37 ans c'est le nombre d'années que j'ai eu la chance de pouvoir passer à tes côtés.
Petite fille j'ai eu mon papy joueur, si à l'aise dans l'eau, un peu magicien pour les maux de ventre.
Adolescente à nous les bousculades au ponton, les parties de raquettes de plage acharnées, l'observation des matchs de volley et, soyons sincères, quelques petites prises de bec par ci par là.
Jeune femme tu as rencontré l'amour de ma vie, tu l'as aimé et lui aussi. Je me souviendrai de nos discussions sur ta terrasse, celle qui te faisait sentir le roi du monde, de nos parties de belote... non de coincé et n'oublions pas la Marie Brisard ! Le coup de main pour glacer les verres c'est de toi que je le tien.
Tu m'as vu m'épanouir, devenir maman, 1 fois puis 2. Mes enfants auront eu la chance de connaître leur Papinou et d'emporter leurs souvenirs avec eux en grandissant.
Maintenant, mon Papy, tu rejoindra dans mon coeur, les 2 autres personnes si chères à mon coeur, qui sont parties trop tôt. Et alors quand je regarderai les étoiles, c'est à Mamy Mireille, Papy Denis et à toi que je m'adresserai.
Je t'aime... "
Je voudrai t'adresser ces quelques mots. Ils ne seront certes pas à la hauteur de tes discours, plein d'humour et de délicatesse, tout en alexandrins et qui contaient si bien ce que tu avais à dire, mais ils viennent de mon coeur. Ah tes discours ! Tout un poème... et tout une présence !
37 ans. 37 ans c'est le nombre d'années que j'ai eu la chance de pouvoir passer à tes côtés.
Petite fille j'ai eu mon papy joueur, si à l'aise dans l'eau, un peu magicien pour les maux de ventre.
Adolescente à nous les bousculades au ponton, les parties de raquettes de plage acharnées, l'observation des matchs de volley et, soyons sincères, quelques petites prises de bec par ci par là.
Jeune femme tu as rencontré l'amour de ma vie, tu l'as aimé et lui aussi. Je me souviendrai de nos discussions sur ta terrasse, celle qui te faisait sentir le roi du monde, de nos parties de belote... non de coincé et n'oublions pas la Marie Brisard ! Le coup de main pour glacer les verres c'est de toi que je le tien.
Tu m'as vu m'épanouir, devenir maman, 1 fois puis 2. Mes enfants auront eu la chance de connaître leur Papinou et d'emporter leurs souvenirs avec eux en grandissant.
Maintenant, mon Papy, tu rejoindra dans mon coeur, les 2 autres personnes si chères à mon coeur, qui sont parties trop tôt. Et alors quand je regarderai les étoiles, c'est à Mamy Mireille, Papy Denis et à toi que je m'adresserai.
Je t'aime... "