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Avis de décès de Madame cristiane, Augustine, Victoire LEFEVRE née JOLLY
Publié le 17 juillet 2021 à Sainte-Maxime
cristiane, Augustine, Victoire lefevre née JOLLY
Née le 07 février 1920
Décédée à Sainte-Maxime
le 17 juillet 2021 à l'âge de 101 ans
le 17 juillet 2021 à l'âge de 101 ans
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Un hommage fort de sens
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08 00 18 17 00
53, Avenue Jean Jaurès, Bâtiment V3 Résidence Casa Del Mar
83120 Sainte-Maxime
83120 Sainte-Maxime
Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
cristiane, Augustine, Victoire LEFEVRE née JOLLY
survenu le samedi 17 juillet 2021, à l'âge de 101 ans.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de cristiane, Augustine, Victoire.
Avec toute notre affection.
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6 hommages ont été rendus :
Message de romain lefevre
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" pensées émues pour ma grand-mère que j'aimais tant et les moments inoubliables passés en sa compagnie. "
Message de Nicole Villain
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Je suis très triste de la disparition de Mme Lefevre
C'c'est son exemple qui m'a donné ma vocation
être pharmacienne, je ne l'en remercierai jamais assez
Sincères condoléances à toute sa famille "
C'c'est son exemple qui m'a donné ma vocation
être pharmacienne, je ne l'en remercierai jamais assez
Sincères condoléances à toute sa famille "
Message de Benjamin Lefevre
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Chère Mémé Dunkerque, tu es pour nous tous un modèle permanent de courage, d'abnégation, de simplicité, et de résilience.
Je te croyais immortelle, tellement tu étais forte et courageuse.
J'ai tellement de souvenirs au Petit Mas, avec Pépé, Casimir et toi, qu'il faudrait une encyclopédie pour les lister. Tu as toujours été à l'écoute, tolérante et ouverte d'esprit, et prodiguant les conseils les plus sages et judicieux.
L'héritage est compliqué pour nous tous, une page est définitivement tournée, j'aimerais égaler ne serait-ce qu'un dixième de tout ce que tu as accompli avec succès.
Veille sur nous, comme nous honorerons ta mémoire indéfiniment...
Benjamin, ton filleul et petit-fils. "
Je te croyais immortelle, tellement tu étais forte et courageuse.
J'ai tellement de souvenirs au Petit Mas, avec Pépé, Casimir et toi, qu'il faudrait une encyclopédie pour les lister. Tu as toujours été à l'écoute, tolérante et ouverte d'esprit, et prodiguant les conseils les plus sages et judicieux.
L'héritage est compliqué pour nous tous, une page est définitivement tournée, j'aimerais égaler ne serait-ce qu'un dixième de tout ce que tu as accompli avec succès.
Veille sur nous, comme nous honorerons ta mémoire indéfiniment...
Benjamin, ton filleul et petit-fils. "
Message de Victor Lefevre
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" À ma très chère « mémé Dunkerque »,
Tu aimais ta famille et tu étais fière d’elle, nous t’aimons et nous sommes fiers de toi.
La vie t’avais appris à être forte. Merci mémé de nous avoir transmis cette force.
Tu resteras pour moi un modèle de courage, de simplicité et de bienveillance.
Tu étais l’histoire vivante de la famille.
Je garde en mémoire des tas d’histoires et d’expériences que tu as vécues et que tu nous partageais.
Tu laisses un héritage impressionnant. Chaque souvenir est ancré au plus profond de moi, ta voix gravée à jamais. Et certaines de tes phrases résonneront pour toujours.
Reposes en paix, tu le mérites tellement. Tu nous manques déjà.
Victor, ton petit-fils. "
Tu aimais ta famille et tu étais fière d’elle, nous t’aimons et nous sommes fiers de toi.
La vie t’avais appris à être forte. Merci mémé de nous avoir transmis cette force.
Tu resteras pour moi un modèle de courage, de simplicité et de bienveillance.
Tu étais l’histoire vivante de la famille.
Je garde en mémoire des tas d’histoires et d’expériences que tu as vécues et que tu nous partageais.
Tu laisses un héritage impressionnant. Chaque souvenir est ancré au plus profond de moi, ta voix gravée à jamais. Et certaines de tes phrases résonneront pour toujours.
Reposes en paix, tu le mérites tellement. Tu nous manques déjà.
Victor, ton petit-fils. "
Message de Catherine et André FABRON
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Lors de nos rencontres, Christiane ne manquait jamais de nous relater, pour notre plus grand plaisir, une anecdote savoureuse d'une vie bien remplie.
Sincères condoléances à toute la Famille. "
Sincères condoléances à toute la Famille. "
Message de Jérôme Boudringhin
Publié le jeudi 18 janvier 2024 à 16h25
" Chère Mémé adorée,
Tu as rejoint ta Maman que tu n'avais pas connu et qui t'avait tant manqué.
Maman, un être cher dont tu auras été privée, car comme tu aimais à nous le répéter: rien ne remplace une Maman.
Maman, un rôle, comme en défi au destin, dont tu te seras acquittée à merveille tout au long de ta longue et riche vie, cinq fois mère, et un nombre incalculable de fois grand-mère et arrière grand-mère, repeuplant à toi seule j'en suis sûr, la France pour les siècles à venir.
Pour moi qui n'avais qu'une seule grand mère, tu comptais double, et même triple, comme les mots que tu affectionnais tant au Scrabble.
Pharmacienne accomplie, tu étais dévouée à tes clients qui t'appréciaient.
A un âge où la plupart optent pour la chaise longue, tu gambadais encore comme un jeune chamois dans les collines varoises, avec ta silhouette svelte de jeune fille.
Et si ça ne suffisait pas, tu étais aussi un cordon bleu, toujours dévouée aux tiens et prête à les accueillir à bras ouverts jusqu'au bout, que ce soit à Sainte Maxime ces dernières années, au Petit Mas aux Issambres, ou à Dunkerque dont je garde intact le souvenir des noëls en famille.
Si tu n'avais pas rejoint les anges un peu tôt, à 101 ans, je dirais que tu es bonne à marier.
L'année dernière, nous aurions dû fêter tes cent ans tous ensemble.
Un virus planétaire en aura décidé autrement.
Heureusement, tu auras quand même pu célébrer ton anniversiècle en comité réduit avec trois de tes enfants et leurs conjoints, Christian, Jean-Luc et Nicole qui n'avaient pas pu se déplacer étant présents par la pensée ainsi que nous autres.
J'aurais aimé te revoir une dernière fois en chair et en os.
Mais au moins, ces derniers mois, j'aurais eu le plaisir de te voir et de te parler à distance grâce à la technologie et grâce à Monique, Xavier et Julien qui te rendaient souvent visite.
Ta présence bienveillante m'a accompagné pendant près d'un demi siècle.
Avec ton départ, une page se tourne.
Tu me manques déjà.
Ton beau et doux sourire restera gravé pour toujours dans mon coeur.
Je ne t'oublierai jamais.
Mémé, je t'aime. "
Tu as rejoint ta Maman que tu n'avais pas connu et qui t'avait tant manqué.
Maman, un être cher dont tu auras été privée, car comme tu aimais à nous le répéter: rien ne remplace une Maman.
Maman, un rôle, comme en défi au destin, dont tu te seras acquittée à merveille tout au long de ta longue et riche vie, cinq fois mère, et un nombre incalculable de fois grand-mère et arrière grand-mère, repeuplant à toi seule j'en suis sûr, la France pour les siècles à venir.
Pour moi qui n'avais qu'une seule grand mère, tu comptais double, et même triple, comme les mots que tu affectionnais tant au Scrabble.
Pharmacienne accomplie, tu étais dévouée à tes clients qui t'appréciaient.
A un âge où la plupart optent pour la chaise longue, tu gambadais encore comme un jeune chamois dans les collines varoises, avec ta silhouette svelte de jeune fille.
Et si ça ne suffisait pas, tu étais aussi un cordon bleu, toujours dévouée aux tiens et prête à les accueillir à bras ouverts jusqu'au bout, que ce soit à Sainte Maxime ces dernières années, au Petit Mas aux Issambres, ou à Dunkerque dont je garde intact le souvenir des noëls en famille.
Si tu n'avais pas rejoint les anges un peu tôt, à 101 ans, je dirais que tu es bonne à marier.
L'année dernière, nous aurions dû fêter tes cent ans tous ensemble.
Un virus planétaire en aura décidé autrement.
Heureusement, tu auras quand même pu célébrer ton anniversiècle en comité réduit avec trois de tes enfants et leurs conjoints, Christian, Jean-Luc et Nicole qui n'avaient pas pu se déplacer étant présents par la pensée ainsi que nous autres.
J'aurais aimé te revoir une dernière fois en chair et en os.
Mais au moins, ces derniers mois, j'aurais eu le plaisir de te voir et de te parler à distance grâce à la technologie et grâce à Monique, Xavier et Julien qui te rendaient souvent visite.
Ta présence bienveillante m'a accompagné pendant près d'un demi siècle.
Avec ton départ, une page se tourne.
Tu me manques déjà.
Ton beau et doux sourire restera gravé pour toujours dans mon coeur.
Je ne t'oublierai jamais.
Mémé, je t'aime. "